En attendant de jouer à Paris, je me lance dans une tournée d’été internationale (carrément) qui a commencé à Bry et qui va se poursuivre au Mans et en Belgique. Il s’agit d’une version courte de mon spectacle. Les spectateurs reviendront, je l’espère, me voir dans quelques mois à Paris pour la version longue.

Le jour de mes 60 ans, le 12 juin 2020, j’ai finalement joué une grosse moitié de mon spectacle chez moi à Bry-sur-Marne, devant un public de… cinq amis. Un grand moment qui m’a permis de gagner en expérience et qui a permis à Anne, ma coach, de rôder les aspects techniques (vidéos, images, son, voix off, lumière…)

Une tournée internationale cet été

Deux autres représentations en version courte auront lieu durant l’été, avec à chaque fois 15 à 30 spectateurs. L’une près du Mans le 1er août, l’autre en Belgique le 8 août. N’hésitez pas à me le signaler via cette page en en m’adressant un email, si vous souhaitez y assister. Le public sera en majorité composé de spectateurs qui n’auraient pas été présents si j’avais joué le 12 juin dernier au théâtre.

Des dates parisiennes encore en suspens

Les deux dates parisiennes de représentation en version longue, au théâtre du Passage vers les étoiles, sont encore inconnues mais elles auront bien lieu, en novembre, décembre, janvier ou plus tard. Tout dépendra évidemment de l’évolution de la situation sanitaire. Ceux qui auront vu le spectacle en version courte reviendront alors me voir (je n’en doute pas !) pour découvrir le spectacle complet, dans l’ambiance particulière d’un vrai théâtre.

Un spectacle qui a beaucoup évolué

De plus en plus éloigné des « stand-up » de la plupart des humoristes, mon spectacle est devenu un « seul en scène », c’est-à-dire une véritable pièce de théâtre dont les scènes s’enchaînent selon un fil conducteur et des thèmes récurrents. Je joue ainsi plusieurs rôles (dont Dieu, Hitler, une astronaute cruche ou un serial killer) et mon propos s’appuie sur des montages photos et vidéo de mon cru, sur des sons et musiques, ainsi que sur une voix off. Si le rire est bien présent, le spectateur a plus souvent le sourire aux lèvres, suspendu qu’il est aux histoires que je raconte.